samedi 28 août 2010

MARRAKECH

                                     

MARRAKECH



Cet article commence à RABAT
Août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée, étape terrestre

C’est bon, je peux partir tranquille. Retour à la marina. On saute à nouveau dans un taxi pour la gare de Rabat. Le sac de golf n’est pas un bon argument pour obtenir une chute des cours de la course en taxi. Le train est confortable et rapide. Re taxi pour rejoindre le riad réservé. On s’en sort pour 30 dirhams. Une misère, comparé au cours du lingot d’or !
Le THÉÂTRE ROYAL de MARRAKECH


Parcours du combattant pour trouver le riad, perdu dans un dédale de chemins sans indications ni noms de rues. La rumeur populaire nous guide, remorquant sacs de golf et de voyage, au fin fond de ruelles de plus en plus étroites et sombres, à la porte tant désirée. Il va falloir faire confiance à l’extraordinaire sens de l’orientation de mon épouse pour y entrer et en sortir.


Au restaurant Chez CHEGROUNI,
vue sur la place JEMAA EL FNA


vendredi 27 août 2010

FÈS



FÈS



Cet article commence à MEKNES, Maroc
Août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée, étape terrestre

Départ pour Fès. Hôtel Ibis. Super piscine et jardin. A peine sortis de l’hôtel, nous sommes assaillis par les taxis et par un baratineur qui se dit guide officiel, etc. J’ai horreur des trop beaux parleurs, ils sont généralement des arnaqueurs. Je refuse dans un premier temps ses services, mais il semble effectivement diriger les opérations. Il nous engage à prendre un jeune taxi et fait avec lui le programme à venir. Arrêt au Mellah (quartier juif), au palais royal de DAR EL-MAKHSEN, le Borj nord avec la visite de la fabrique de céramique. Céramique bleue, évidemment, couleur de Fès, et pour finir, le palais Batha qui est en fait un musée. C’est parti.



jeudi 26 août 2010

MEKNÈS



MEKNÈS




Cet article commence à RABAT
Août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée, étape terrestre


Départ pour Meknès 11 heure 25. Un petit hôtel près de la gare nous héberge, avec piscine à la clé. Exploit : Mamie s’y baigne, enfin... elle fait trempette.


MEKNES, est une ville du Maroc qui tire son nom du berbère Meknassa du nom de la tribu fondatrice de la ville. Elle est le chef-lieu de la région administrative de Meknès-Tafilalet, au nord du pays. La ville est située à 150 km à l'est de Rabat et à 60 km à l'ouest de Fès. C'est l'une des quatre villes impériales du Maroc. Elle fut la capitale du Maroc durant le règne de Moulay Ismaïl (1672-1727). La ville historique de Meknès et sa médina sont placées sous la protection de l'UNESCO (1996). Meknès connait depuis lors diverses opérations de restauration des sites (murailles, portes, ruelles, places publiques...). Elle est maintenant digne des plus grandes villes méditerranéennes et arabes de par sa diversité culturelle. La fameuse place Lehdim a connu en 2007, deux opérations de restauration et rénovation et une autre rénovation est en cours de réalisation. (Wikipedia)



Place LAHDIM 

 

mercredi 25 août 2010

RABAT




RABAT



Cet article commence à RABAT
Août 2010
Mes coéquipiers sont Edmée, Alice et Patrice HASSANI

La marina répond à la VHF qu’elle va nous envoyer comme promis un zodiac qui nous guidera pour entrer. Le pilote arrive. Après conciliabule et échange d’informations sur les caractéristiques de Pamplemousse, par VHF interposée, il nous demande d’attendre jusqu’à 14 heures que la marée soit pleine haute. Il y a 15 mètres de fond. Je décide de mouiller, surtout pour améliorer le confort et se restaurer un peu. Même si les estomacs ne sont pas très demandeurs, ça passe le temps. Alice émerge de sa couchette, pas très en forme, comme tout un chacun.


LA BARRE DU PORT DE RABAT
(Photo du net)
A 13 heures 30, nous voyons apparaître notre pilote. " On va tenter le coup ! " dit-il ! Encourageant, le docteur ! Il nous donne les instructions. " Il faut y aller franchement, à pleine vitesse pour ne pas risquer d’être pris par le travers, et surtout, suivre parfaitement mon sillage en restant le plus près possible." Et c’est parti, à fond la caisse. La manette des gaz au taquet. Pamplemousse rugit. Il surfe dans les brisants. Je ne quitte pas des yeux le cul du zodiac.

lundi 23 août 2010

LARACHE



LARACHE



Cet article commence à LARACHE, Maroc
Le 23 août 2010
Mes coéquipiers sont Edmée, Alice et Patrice HASSANI

Le 12 août à 14 heures, nous entrons dans la baie de LARACHEpour couper le trajet sur RABAT. Nous avons bénéficié d’un vent léger et d’une mer plate, confortable. La vitesse n’était pas celle de l’éclair, mais suffisante. Il restera 80 milles à courir pour atteindre l’objectif.

dimanche 22 août 2010

TANGER



TANGER



Cet article commence à CADIX, Espagne
Le 20 août  2010
Mes coéquipiers sont Edmée, Alice et Patrice HASSANI

Drapeau animé d'Espagne par Pascal Gross


C’est à 20h50, que nous larguons les amarres du Puerto America avec soulagement, et espoir de ne pas le revoir, en dépit de l’accueil irréprochable de son personnel.

La météo est idéale. Un petit vent qui mériterait une dose de vitamines. A peine 12 nœuds. Les voiles sont là presque pour faire joli. La traversée du détroit de Gibraltar se fait sans douleur. Les quarts sont tranquilles si ce n’étaient les cargos qui viennent troubler la quiétude de l’équipage. 



lundi 16 août 2010

DE CADIX À TANGER


DE CADIX À TANGER



Cet article commence à CADIX, Espagne
Le 16 août 2010
Mes coéquipiers sont Edmée, Alice et Patrice HASSANI

Drapeau animé d'Espagne par Pascal Gross



Le vent dépasse les 20 nœuds, debout évidemment. Patrice se révèle habile à la manœuvre. Il comprend immédiatement. C’est pas la tempête, mais pour une mise en bouche, ce n’est pas non plus l’idéal. Le courant est contraire. Pour entrer dans le chenal, il faut laisser porter presqu’à 180 degrés de notre route. Le résultat est que nous avons maintenant un fort courant et vent portant.  Il y a une circulation incroyable dans ce goulet qui se rétrécit de plus en plus. Une multitude d’embarcations sont mouillées sur corps-morts sur bâbord. Sur tribord avant se profile la petite marina.

CADIX. L'HOTEL DE VILLE
Il faut mettre bout au vent pour affaler la grand-voile rapidement, car la vitesse est trop forte et l’espace de manœuvre étroit. Par bonheur, dès mis bout au vent, le bateau s’arrête pile par l’effet conjugué du vent et du courant mais il se met à culer aussi très rapidement. Je le remets dans le sens du goulet, travers au vent. A sec de toile et au point mort, nous filons à 4 nœuds. Il faut trouver rapidement un coin pour mouiller, ou en tout cas faire demi-tour. Je repère un espace suffisant pour faire la manœuvre.

dimanche 15 août 2010

ROTA OU FROID L'ACCUEIL !

ROTA OU FROID L'ACCUEIL !



Cet article se déroule à ROTA, Espagne
Août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée

Nous ne savons pas trop où aborder. Un wharf nous tend les bras près d’une pompe à essence. On fixe les amarres. Je descends prendre des informations. Pas un chat à notre rencontre. Pas un marinero pour nous indiquer la marche à suivre et le ponton avec notre emplacement. Curieux. Pourtant, j’ai fait téléphoner par il Puerto America pour réserver une place aujourd’hui. Pamplemousse ne peut pas être passé inaperçu. A moins qu’un gaz toxique ait anéanti l’ensemble du personnel, je ne trouve pas d’explication à cette désolation silencieuse. Je cherche l’office. Je cours jusqu’au bout de la rue.

IBIZA LA BOMBA


IBIZA LA BOMBA



Cet article se déroule à IBIZA, îles Baléares, Espagne
Juillet/août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée

Le réveil sonne à 4 heures 45. De la folie ! Je me lève en titubant. Départ pour Ibiza dans les nuages. A pied avec deux sacs de voyage à bout de bras et cet arrêt bus qui ne fait que se carapater. Ferry ordinaire. Tout est ordinaire, ce matin. 


Le petit-déjeuner copieux avant de débarquer nous sort de notre torpeur. On nous débarque loin de la ville. 


A part des touristes et des plages...
Dans notre précipitation et notre somnambulisme, nous n’avons pas réalisé que nous sortions par le chemin des écoliers, à savoir celui de ceux qui ont une voiture. Je me disais bien aussi : " Qu’est-ce qu’ils ont à nous jeter des regards méchants ! " Des bus sont prévus pour jeter les touristes en plein centre-ville. C’est l’usine à touristes, ici. A part les touristes et les plages, circulez, il n’y a rien à voir. Vous aurez compris que je propage un verdict primaire et préconçu sur l’enrichissement que l’on peut retirer d’une telle escale.

PALMA DE MAJORQUE

 

PALMA DE MAJORQUE



Cet article se déroule à PALMA DE MAJORQUE, îles Baléares, Espagne
Juillet 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée

Trop tard pour trouver un hôtel, et même un taxi. Quand au bus, il faut savoir comment le réseau fonctionne et où il nous débarquerait le cas échéant. Encore une fois, nuit inconfortable sur des banquettes d’aéroport. Il y a toujours un boucan de tous les diables, dans ces aéroports. On va finir par se plaindre à la concierge.

Ben oui !
Réveil douloureux, muscles ankylosés comme enfagotés dans une camisole de force. L’aéroport s’anime lentement. Petit-déjeuner interminable suite à une panne de réveil du boulanger qui livre croissants chauds et pain frais. Finalement, j’opte pour un pain rassis passé au four.

MADRID, C'EST CAPITAL !

SÉVILLE LA SÉMILLANTE !



SÉVILLE LA SÉMILLANTE !




Cet article commence à SÉVILLE, Espagne
Juillet 2010
Mes coéquipiers  sont (est) Edmée, étape terrestre

La montre de l'ancienne gare de Séville
(Photo du net)
Le ferry était déjà là qui embarquait les passagers. Nous sommes donc à la gare quatre heures avant le départ de notre train. Le préposé nous reconnaît. Forcément, après la conférence charabia que je lui ai tenue des heures durant ! Il accepte sans rancune et gratuitement d’avancer notre départ. Après quelques photos devant le kiosque à journaux qui expose sur tous les titres d’immenses photos célébrant la victoire de l’équipe espagnole. 

L’office du tourisme à la gare de Séville nous propose un hôtel pas très loin et pas très cher. Accueil sympa mais un peu loin du centre.