mercredi 27 juin 2007
mardi 26 juin 2007
DE VENISE À CORFOU VIA LA CROATIE, L'ALBANIE ET L'ADRIATIQUE
jeudi 31 mai 2007
DE BRINDISI À VENISE
DE BRINDISI À VENISE
Cet article commence à BRINDISI, Italie
Le 2 juin 2007
Mes coéquipiers sont Michel BESNIER puis, à terre, Edmée puis Renée et Jean-Claude HIREL
Avec Michel, je ne manque pas d’occupation, en attendant la relève de Jean-Claude Hirel, qui arrivera le 31 mai. Un bagage s’est perdu dans les méandres des couloirs d’Alitalia. Ce désagrément donne à Michel l’occasion de mettre en pratique son italien. Il lui faut garder un calme olympien pour affronter les vains allers-retours à l’aéroport et s’entendre répéter : « Il arrivera par le prochain vol, en provenance de MILAN » Que diable avait-il été faire à Milan ? Il le récupérera finalement à ANCONA. Joli détour !Libération, 31 août 2009 : Pour l'heure, trois amendes de 2.000 euros (!) viennent d'être infligées à Alitalia par l’Enac (l'autorité italienne compétente en matière d'aviation civile) pour le non-respect des standards en matière de livraison des bagages et le retrait des licences de certaines sociétés chargées de la gestion des valises (ici, on dit "handling") a été annoncé. |
samedi 21 avril 2007
DE BODRUM À BRINDISI VIA LES ILES GRECQUES ET LE CANAL DE CORINTHE
DE BODRUM À BRINDISI
VIA LES ILES GRECQUES
ET LE CANAL DE CORINTHE
Cet article commence à BODRUM, Turquie
Le 2 avril 2007
Mes coéquipiers sont Jean-Claude HIREL, Sylvie et Jean-Paul MACAUD
Le 21 avril, j’arrive à Bodrum à une heure impossible : retard d’avion, bagage en vadrouille, taxi carentiel, marina au bout de la nuit et clé du bateau introuvable. Mais rien n’entame l’émotion de retrouver mon fidèle Pamplemousse. Il s’est fait bichonner, pendant ces mois de solitude. Il me paraît plus beau que jamais. |
vendredi 5 janvier 2007
DOUCE TURQUIE
DOUCE TURQUIE
Cet article commence à FINIKE, Turquie
Le 25 mai 2006
Mes coéquipiers sont Christian DESCHAMPS, puis Karine et Franck DESCHAMPS, puis Edmée mon épouse
Jeudi 25 mai 20 heures trente, nous entrons dans la marina de Finike. Nous avons parcouru depuis Alexandrie 361 milles en deux jours et 12 heures de près bon plein. A part une zone de brouillard intense à couper au sabre d’abattis, aucun problème.
La Turquie : changement d’ambiance, de style. Accueil polissé, souriant.Un zodiac nous guide vers un emplacement provisoire. Gentillesse, efficacité, sourire omniprésent. Autorisation de débarquer bien que nous soyons encore sous pavillon de quarantaine. C'est exemplaire, pour ceux qui fusillent ce pays, certainement sans y avoir jamais mis les pieds. Le lendemain après-midi, Pampan est sur le terre-plein, calé à la mode turque, avec des rondins de bois. Impressionnant! |
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