SALVADOR SANS rancœur
Cet article se déroule à SALVADOR DE BAHIA, Brésil
Le 28 février 2011
Mes coéquipiers sont (est) mon fils Christian
BAHIA MARINA, SALVADOR |
Lorsque
nous sommes entrés dans la marina, et avant de tomber dans un coma réparateur,
nous avons vu arriver un catamaran manœuvré par deux jeunes marins et une
marinière aux formes… avantageuses. Christian – mais lui seul - n’en a pas
perdue une miette !
Après
ledit coma, qui nous mène à la journée du lendemain frais comme des mulets, on
s’affaire pour résoudre en priorité les problèmes de douane. On nous indique un
dénommé Alphonse, spécialiste de ces problèmes, par qui il faut passer
impérativement tant les arcanes des opérations douanières sont tortueuses et
parsemées d’embûches. Va pour Alphonse.