ROTA OU FROID L'ACCUEIL !
Cet article se déroule à ROTA, Espagne
Août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée
Nous ne savons pas trop où aborder. Un wharf nous tend les bras près d’une pompe à essence. On fixe les amarres. Je descends prendre des informations. Pas un chat à notre rencontre. Pas un marinero pour nous indiquer la marche à suivre et le ponton avec notre emplacement. Curieux. Pourtant, j’ai fait téléphoner par il Puerto America pour réserver une place aujourd’hui. Pamplemousse ne peut pas être passé inaperçu. A moins qu’un gaz toxique ait anéanti l’ensemble du personnel, je ne trouve pas d’explication à cette désolation silencieuse. Je cherche l’office. Je cours jusqu’au bout de la rue.
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dimanche 15 août 2010
ROTA OU FROID L'ACCUEIL !
IBIZA LA BOMBA
IBIZA LA BOMBA
Cet article se déroule à IBIZA, îles Baléares, Espagne
Juillet/août 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée
Le réveil sonne à 4 heures 45. De la folie ! Je me lève en titubant. Départ pour Ibiza dans les nuages. A pied avec deux sacs de voyage à bout de bras et cet arrêt bus qui ne fait que se carapater. Ferry ordinaire. Tout est ordinaire, ce matin.
Le petit-déjeuner copieux avant de débarquer nous sort de notre torpeur. On nous débarque loin de la ville.
Dans notre précipitation et notre somnambulisme, nous n’avons pas réalisé que nous sortions par le chemin des écoliers, à savoir celui de ceux qui ont une voiture. Je me disais bien aussi : " Qu’est-ce qu’ils ont à nous jeter des regards méchants ! " Des bus sont prévus pour jeter les touristes en plein centre-ville. C’est l’usine à touristes, ici. A part les touristes et les plages, circulez, il n’y a rien à voir. Vous aurez compris que je propage un verdict primaire et préconçu sur l’enrichissement que l’on peut retirer d’une telle escale.
Le petit-déjeuner copieux avant de débarquer nous sort de notre torpeur. On nous débarque loin de la ville.
A part des touristes et des plages... |
PALMA DE MAJORQUE
PALMA DE MAJORQUE
Cet article se déroule à PALMA DE MAJORQUE, îles Baléares, Espagne
Juillet 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée
Trop tard pour trouver un hôtel, et même un taxi. Quand au bus, il faut savoir comment le réseau fonctionne et où il nous débarquerait le cas échéant. Encore une fois, nuit inconfortable sur des banquettes d’aéroport. Il y a toujours un boucan de tous les diables, dans ces aéroports. On va finir par se plaindre à la concierge.
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MADRID, C'EST CAPITAL !
MADRID, C’EST CAPITAL
Cet article se déroule à MADRID
Juillet 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée, étape terrestre
Entrée en matière avec la visite du MUSEO DEL JAMON. En fait, un magnifique et succulent restaurant qui justifie sa dénomination par l’étalage exubérant de jambons au fumet envahissant, exposés de toutes parts.
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SÉVILLE LA SÉMILLANTE !
SÉVILLE LA SÉMILLANTE !
Cet article commence à SÉVILLE, Espagne
Juillet 2010
CADIX : LE RETOUR !
CADIX : LE RETOUR !
Cet article commence à CADIX, Espagne
Le 4 juillet 2010
Toujours le même problème avec la marina, la place pourtant peu convoitée n’est libre que pour deux jours, après quoi il faudra déguerpir. Il y a de la place à ROTA, à 11 milles de là. Va pour Rota.
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COURTE VIRÉE AU PORTUGAL
COURTE VIRÉE AU PORTUGAL
Cet article commence à CADIX, Espagne
Le 30 juin 2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée
Le 30 juin donc, nous faisons nos formalités avec la marina Puerto America. La jauge de mazout montre une réserve de 325 litres, c'est-à-dire à moitié réservoir, pile-poil. Le réservoir d’eau idem, c'est-à-dire en gros 800 litres. Bof, pour aller jusqu’à Faro, c’est pas le bout du monde, je juge que c’est pas la peine de compléter et de traîner une tonne de liquides en plus.
J’ai prévu de faire escale en mouillage forain au fin fond d’une rivière pas très loin de Cadix, environ vingt milles sans compter les détours dans les méandres de la rivière. En fait, cette rivière est l’embouchure du GUADALQUIVIR, le fleuve qui arrose SEVILLE, rien de moins. |
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