CASABLANCA
Cet article commence à RABAT
Mes coéquipiers sont (est) Edmée, étape terrestre
Au moment de payer la marina, la carte toute belle, toute neuve, refuse tout service. Grand moment de flottement sur la conduite à tenir. Edmée doit prendre en charge la dépense. Le départ est décidé malgré cet avatar. Nous téléphonons de la gare au centre Visa qui nous rassure : " C’est parce que vous avez fait débit. Il faut faire crédit ! " OK, nous partons rassurés.
Enfin, ce 30 août, nous laissons Pamplemousse à son triste sort. Le taxi n’en revient pas du poids des bagages.
|
CASABLANCA |
Arrivée à Casablanca 13 heures 30. L’hôtel Ibis est juste en face de la gare. Il faut traverser un boulevard à grande circulation. Je dis à Edmée d’attendre avec une partie des bagages. Les taxis nous harcèlent. J’ai beau dire que je vais en face rien n’y fait. " C’est interdit de traverser à pied, vous devez prendre un taxi ! – C’est ce qu’on va voir ! " je réponds, têtu comme un bourricot. Je fais un premier voyage, réserve une chambre et reviens au secours de ma moitié pour une deuxième expédition. J’aimerais faire un bras d’honneur à mes amis taxis mais ma politesse légendaire me l’interdit.
|