QUAND L’HÔPITAL SE FOUT
DE LA CHARITÉ
Nous étions, ma femme et moi, en Algérie pendant une dizaine de jours. J'y étais déjà venu l'an passé avec mon voilier Pamplemousse. J'étais alors accompagné d'un ami, Gilbert Gambardella, natif de DELLYS, une petite ville à 100 kms à l'est d'Alger, martyrisée par un tremblement de terre et par l'aveuglement des hommes. Le calme y règne, même si, de temps à autre, un accrochage est signalé ici où là par la presse entre l'armée et les intégristes. Sur ce sujet, l’ambiance n’est pas même comparable avec ce qui se passe en France, par exemple à Grenoble ou dans les banlieues des grandes villes où l’insécurité est proche de la guerre civile et est aussi la grande préoccupation des citoyens.
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dimanche 12 septembre 2010
QUAND L’HÔPITAL SE FOUT DE LA CHARITÉ
samedi 11 septembre 2010
ALGÉRIE, L'ÉMOTION, TOUJOURS !
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