BERLIN
Cet article commence à BRUGES, Belgique
Le 22 septembre 2011
Mes coéquipiers sont (est) Edmée
22 septembre 2011
Départ de l’hôtel à 3h00 pour prendre le train à 3h28. Petit-déj. à l’aéroport. Décollage à 6h30. Arrivée à Berlin 8h15. Nous prenons le bus 109 pour l’hôtel GRAND CITY HOTEL BERLIN. Un trois étoiles bien placé. Le chauffeur allemand, comme toujours obligeant, nous indique où descendre.
BERLIN, le mur aujourd'hui |
Après un copieux petit-déjeuner, nous marchons jusqu’au ZOOLOGISTENCHER GARTEN. Terminus des autobus. L’office du tourisme est à portée de claquettes. Le personnel très obligeant nous noie sous une montagne d’informations et de brochures, accompagnées de l’indispensable passe qui nous conduira partout. Nous prenons un autobus pour le REICHTAG, qui est l’ancienne appellation du BUNDESTAG. Hélas, il n’est pas loin, mais la rue est bloquée par le MARATHON DE BERLIN.
Ca court et ça défile sans arrêt, musique tambourinante à l’appui. Impossible de passer, le flot est permanent.
Dome de la Basilique Romane |
Ca court et ça défile sans arrêt, musique tambourinante à l’appui. Impossible de passer, le flot est permanent.
La cathédrale de Berlin |
LA BASILIQUE ROMANE |
La CATHEDRALE DE BERLIN, magnifique, énorme. L’intérieur ne cède en rien à l’extérieur. Edmée fait le dôme, la crypte, le tombeau de Sophie-Charlotte, la chapelle des "mariaches", l’escalier de l’empereur, la loge de l’empereur, l’orgue. Tout, de fond en comble. Je reste assis à terminer le premier tome des Misérables. Ensuite, visite rapide des différents monuments et musées qui composent l’ILE AUX MUSEES. Puis train pour Alexia, où se trouve un centre commercial !
Le 27 septembre est consacré à la visite du MUSÉE DE PERGAME. Une sévère pluie nous surprend. Le bus fait du surplace malgré l’essuie-glace en accéléré. Nous tenons à cette visite pour deux raisons. La première est que l’office du tourisme nous a fortement conseillé d’y consacrer un long moment. La seconde, c’est que nous avons visité PERGAME en Turquie où, outre le souvenir du site, y est attachée une rencontre assez étonnante : nous avions embarqué dans notre voiture de location un vieil homme chargée de bibelots qu’il comptait vendre dans un marché près de Pergame. Lorsque nous l’avons déposé, il a offert à Edmée un pendentif et une chaîne. Bijoux de fabrication artisanale qu’elle garde comme une relique.
La file d’attente interminable pour atteindre la caisse augure bien de la qualité du musée. Nous ne sommes pas déçus, loin s’en faut, avec un petit bémol : comment les Turcs ont-ils pu accepter de se laisser dessaisir de telles richesses.
A la sortie, un jeune vendeur nous fait l’article pour une soirée au CHATEAU DE LA REINE SOPHIE-CHARLOTTE, pour dîner et assister à un récital de musique baroque. Edmée hésite, elle a peur de se faire arnaquer. J’insiste. Il prend l’Amex, ça rassure. Il nous donne billets et reçus en bonne et due forme.
La file d’attente interminable pour atteindre la caisse augure bien de la qualité du musée. Nous ne sommes pas déçus, loin s’en faut, avec un petit bémol : comment les Turcs ont-ils pu accepter de se laisser dessaisir de telles richesses.
Sophie-Charlotte jeune fille |
Cathédrale et Opéra Berlin |
Nous courons à l’OPERA DE BERLIN. Impossible de visiter car il faut avoir réservé et faire partie d’un groupe. Par contre, le lendemain soir, nous aurions pu assister à un ballet, il restait quelques places. Trop tard, Charlotte nous attendait. Retour en train sur Shonhauser Allee, déçus ! On ne peut pas tout avoir.
L’humanité progresse, lentement mais sûrement. A nous, société civile, de donner les coups de pouces nécessaires pour accélérer le processus, en prenant à-bras-le-corps cet outil extraordinaire qu’est Internet. Bien plus efficace que la presse classique, qu’elle soit écrite ou télédiffusée, toujours bien trop avilie par les pouvoirs en place.
Château de la reine Sophie-Charlotte |
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