mardi 19 octobre 2010

CASABLANCA



CASABLANCA



Cet article commence à RABAT
Le 30 août 2010  
Mes coéquipiers sont (est) Edmée, étape terrestre

Au moment de payer la marina, la carte toute belle, toute neuve, refuse tout service. Grand moment de flottement sur la conduite à tenir. Edmée doit prendre en charge la dépense. Le départ est décidé malgré cet avatar. Nous téléphonons de la gare au centre Visa qui nous rassure : " C’est parce que vous avez fait débit. Il faut faire crédit ! " OK, nous partons rassurés.

Enfin, ce 30 août, nous laissons Pamplemousse à son triste sort. Le taxi n’en revient pas du poids des bagages.
CASABLANCA
Arrivée à Casablanca 13 heures 30. L’hôtel Ibis est juste en face de la gare. Il faut traverser un boulevard à grande circulation. Je dis à Edmée d’attendre avec une partie des bagages. Les taxis nous harcèlent. J’ai beau dire que je vais en face rien n’y fait. " C’est interdit de traverser à pied, vous devez prendre un taxi ! – C’est ce qu’on va voir ! " je réponds, têtu comme un bourricot. Je fais un premier voyage, réserve une chambre et reviens au secours de ma moitié pour une deuxième expédition. J’aimerais faire un bras d’honneur à mes amis taxis mais ma politesse légendaire me l’interdit.