mardi 1 mars 2011

SALVADOR SANS RANCŒUR




SALVADOR SANS rancœur



Cet article se déroule à SALVADOR DE BAHIA, Brésil
Le 28 février 2011
Mes coéquipiers sont (est) mon fils Christian

BAHIA MARINA, SALVADOR
Lorsque nous sommes entrés dans la marina, et avant de tomber dans un coma réparateur, nous avons vu arriver un catamaran manœuvré par deux jeunes marins et une marinière aux formes… avantageuses. Christian – mais lui seul - n’en a pas perdue une miette !

Après ledit coma, qui nous mène à la journée du lendemain frais comme des mulets, on s’affaire pour résoudre en priorité les problèmes de douane. On nous indique un dénommé Alphonse, spécialiste de ces problèmes, par qui il faut passer impérativement tant les arcanes des opérations douanières sont tortueuses et parsemées d’embûches. Va pour Alphonse.