lundi 18 octobre 2010

RETOUR À RABAT



RETOUR À RABAT



Cet article se déroule à RABAT
2010
Mes coéquipiers sont (est) Edmée

RABAT, les remparts
(Photo du net)
Revenus sur Pamplemousse après cette expédition idyllique, tout va pour le mieux. La carte de remplacement est arrivée à la marina, de même que le document à la douane pour le court hivernage de Pamplemousse. Il nous reste à récupérer la commande de coussins et autres nappes auprès de la boutique concernée dans le souk.

Nous laissons les vélos soigneusement cadenassés entre eux et une barre de fer de la rambarde près du port de pêche. 

Achat d’une jolie lampe pour remplacer celle du carré dont le verre s’était brisé pendant le parcours Sardaigne-Tunisie. Les deux pièces en laiton qui la retenaient s'étaient usées entre elles à force du balancement continu en cours de route. Nous revenons aux vélos, chargés de paquets volumineux et encombrants. 



Désagréable surprise : la selle du vélo d’Edmée a disparu. Je m’envole vers le commissariat qui gère la circulation à l’entrée de l’immense carrefour qui mène à la médina. Ce n’est pas de leur ressort. On m’en indique un autre, puis un autre. C’est le parcours du combattant, à la course. Un bon entraînement pour le marathon de New York. J’aboutis au final dans le commissariat en charge des touristes. Je leur demande de me ramener, pour deux raisons majeures, la première est qu’à force de tourner en rond, je ne sais plus où j’habite, la seconde est que mes jambes refusent tout supplément d’effort. Edmée attend toujours auprès des vélos. On laisse tomber la plainte. Il faut pousser les vélos et se coltiner les achats volumineux jusqu’à la marina. Nous vouons le Maroc et les Marocains aux gémonies.

LIMITER LES BAGAGES...
n'est pas une mince affaire.
Edmée fait les valises pour le départ pour Casablanca, qui précède celui pour Dublin. Ce n’est pas une mince affaire. Il faut arriver à ne pas dépasser les poids réglementaires. Elle remplit. Je pèse. Trop lourd, il faut vider. On s’en sort, avec les bagages à main, autour des soixante-dix kilos. Strictement, il faudrait que le poids ne dépasse pas cinquante-quatre kilos avec les bagages à main. On est loin du compte. Sans compter qu’elle a déjà chargé une valise de dix-sept kilos que je vais devoir rapporter des Antilles après la traversée de l’Atlantique.

===OOO===

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire