jeudi 15 septembre 2011

BRUXELLES 15 SEPTEMBRE 2011



BRUXELLES




Cet article commence à
Le 15 septembre 2011
Mes coéquipiers sont (est) Edmée


Détail de 
l'hôtel de ville
de Bruxelles
7 heures 03, précision horloge électronique, départ pour Bruxelles via l’aéroport. Deux heures trente de trajet tout confort. La campagne bruxelloise défile sous nos yeux. Le plat-pays de Jacques Brel, enfin nous le découvrons.

Parcours du combattant  pour trouver l’hôtel SCANDINAVIA. Un petit trois-étoiles qui n’en mérite qu’une seule. Le personnel est très sympa, ça compense. 


La navette de l’hôtel nous dépose à la BOURSE, immeuble très classe et central. En escapade, nous découvrons  la GRAND-PLACE,  classée au patrimoine mondial. Classement  largement mérité. C’est la place centrale de Bruxelles. Elle est bordée par l’hôtel de ville et la maison du roi. Elle est considérée comme une des plus belle place du monde. Dîner dans un restaurant italien. Retour  avec la navette, bien pratique.




Hotel de Ville de Bruxelles
Le lendemain, nous entrons dans le détail après un détour par l’office du tourisme. Honneur au premier des Belges : Jacques Brel et son musée, suivi du musée d’ART ROYAL qui conserve des œuvres de la fin du XVIIIème siècle. Le musée René MAGRITTE, surréalisme, cubisme, futurisme. Déstabilisant. Il faut aimer ! J’aime pas.  Coup d’œil général sur la ville depuis le musée ROYAL DE L’ARMEE ET DE L’HISTOIRE MILITAIRE, installé dans l’aile nord du palais du cinquantenaire. Restaurant moules-frites, on est en Belgique, que diable !


Visite de l’EGLISE DU SABLON. Bâtie vers 1400, elle vient de retrouver une seconde jeunesse après dix années de travaux. Elle ne se filme qu’extérieurement. Achat d’un passe de trois jours qui permet d’utiliser tous les transports. Nous apprenons le métro. La CATHÉDRALE est impressionnante en volume mais l’intérieur est décevant. A part les magnifiques vitraux, circulez il n’y a rien à voir.


Le musée de la BANDE DESSINEE, pas facile à dénicher. Il faut pourtant faire l’effort. Il ne faut pas oublier que Tintin et Milou et toute l’équipe sont nés à Bruxelles. Finalement, visite passionnante. Retour en bus jusqu’à la Bourse, d’où nous retrouvons facilement  la Grand-place où trône, entre autres, l’hôtel de ville. 


En flânant vers le MANNEKEN-PIS, nous sommes arrêtés  par un énorme attroupement  autour d’un groupe de MARIACHIS qui, comme chacun ne le sait peut-être pas, sont les groupes de chanteurs traditionnels mexicains. Ils font jaillir de leurs instruments une musique des plus entraînantes qui ne s’oublie pas. Nous restons scotchés, caméra au poing. On en oublie le pisseur éternel, le môme-qui-pisse. Visite des somptueuses galeries de peinture mais attention, regarder seulement.  Les prix sont dissuasifs. 




Manneken-Pis
Le Manneken-Pis est une statue en bronze ridiculement minuscule. Une cinquantaine de centimètres, mais sa célébrité vaut celle de Napoléon. C’est le symbole, semble-t-il, de l’indépendance d’esprit des Bruxellois. Restaurant de fruits de mer, cette fois.



Le 16 au matin, en métro puis train et autobus pour finir, nous partons sur les traces de Napoléon. WATERLOO morne plaine, entrée dans l’Histoire depuis la bataille éponyme le 18 juin 1815. Encore un 18 juin qui a fait date ! Nous commençons par l'office du tourisme aménagé dans ce qui était le QG de WELLINGTON. J'y découvre à prix correct l'œuvre complète des Misérables, que la FNAC n'est pas capable de me fournir, sinon à prix d'or. 


Dans son roman-monument, Victor Hugo dépeint dans le détail la bataille elle aussi monumentale qui se termine par la défaite de l'empereur. 
Un fabuleux panorama vous fait revivre la bataille comme si vous y étiez. Ascension de la Butte-du-lion. Ce monument a été érigé en 1826 sur le site de la bataille, à la demande du roi Guillaume 1er des Pays-Bas, sur le lieu précis ou son fils fut blessé pendant la bataille. Plein les pattes et souffle court. Deux films de vingt minutes sur le déroulement de la bataille. De quoi être incollable si le sujet sort dans "Questions pour un champion". Visite du musée Wellington. Le musée de cire, après ça, est bien terne.

Fin de journée au Sablon, où Edmée pique sa crise pour un met mal cuit et malgré une animation musicale tonitruante à base de cornemuse ou de biniou, allez savoir!

L'Atomium
La journée du 17 est réservée à l'Atomium. Même motif même punition que la veille. Feu d'artifice de moyens de locomotion. Mais le spectacle est grandiose et l'ascenseur pour escalader le monument ultra-rapide à vous décoller les oreilles : cinq mètres/seconde. Cet édifice spectaculaire a été mis en place pour l'expo de 1958. Comme la tour Eiffel, il est resté en place après l’exposition et est devenu un des symboles de Bruxelles, avec le Manneken-Pis pourtant de dimensions nettement moins spectaculaires. L'Atomium fait cent deux mètres de hauteur. Avec ses neuf sphères connectées entre elles, il figure un cristal élémentaire de fer, agrandi cent soixante-cinq milliards de fois. Dommage que ce monument soit aussi loin du centre. 

LE PARLEMENT EUROPEEN
Au retour, nous nous dirigeons vers le PARLEMENT EUROPEEN. Mais un magnifique monument dans le PARC SCHUMANN nous attire. C'est le MUSEE DE LA GUERRE, dans le MONUMENT DE L'INDEPENDANCE. On abandonne le parlement pour muséer un peu encore et nous ne le regretterons pas. Retour au Parlement, édifice gigantesque qui ne se visite qu'avec un laisser-passer qui nous fait défaut, à nous, pauvres clampins tout juste bons à payer des impôts impossibles.




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