dimanche 8 août 2010

ROTA... LE RETOUR !



    ROTA… LE RETOUR !



    Cet article se déroule à ROTA, Espagne
    Le 8 août 2010
    Mes coéquipiers sont Alice et Patrice HASSANI

    Métro de Madrid,
    estacion Chamberi
    (PHoto du net)
    Arrivée à l’aeropuerto internacional Madrid Barajas dans les temps et, comble de bonheur, directement à un satellite, sans passer par la case parking en bout de piste. La délivrance des bagages est plus laborieuse. Nous sortons un peu en avance sur notre horaire. En route pour le métro. J’ai paumé le plan. La mémoire est défaillante. Cafouillage dans les couloirs. Avec ces pesants bagages à trimbaler - ils s’alourdissent d’escale en escale - il vaut mieux éviter de faire des allers-retours superflus.

    Nous hésitons sur la ligne à prendre. Par bonheur, un couple de Madrilènes vient à notre secours. Les minutes sont comptées et s’affolent comme pour nous narguer. C’est en courant, à bout de souffle, que nous rejoignons notre carrosse à quelques petites minutes du coup de sifflet fatal.


    Alice et Patrice sont déjà installés dans leur compartiment. Le voyage se passe en un éclair, tant les bavardages sont touffus. Patrice nous fait une frayeur. Il a perdu son porte-documents. Qui s’était fâcheusement échappé de sa poche pour se camoufler vicieusement entre le fauteuil et le support du siège. Nos deux amis ont réservés un hôtel à Séville.



    Nous continuons sur Cadix, où nous arrivons sur les douze coups de minuit. Plus de ferry, encore moins de bus. Il nous reste le taxi, qui nous dépose près de la marina à pas d’heure. Le temps de brancher le courant, l’eau, de faire une connexion iridium et de trouver une flopée de messages, il est temps de prendre le petit-déjeuner et de se mettre au boulot.

    Visite brève...
    Nos amis arrivent par le ferry à 14 heures 30. Visite brève de la ville, suivie d’un réapprovisionnement de la cambuse. Sacs à provisions et packs de boissons à bout de bras et tassés dans les sacs à dos. Des mules sont légèrement chargées, en comparaison. Les retrouvailles se fêtent comme il se doit, autour d’une bouteille pétillante et glacée à souhait.

    Pour mettre les nouveaux venus dans le bain, je prévois une petite étape, de 17 milles. C’est un arroyo au fond duquel se cache une petite marina. J’ai repéré cet abri sur la carte Géonav. Nous devrions y trouver notre bonheur en mouillage forain pour la nuit. Donc, le dimanche 8 août, nous disons adieu à cette marina où, étrangement, nous avons été à tel point mal accueillis que malgré le fait que nous soyons restés plus d’un mois, on a refusé de nous faire le tarif correspondant à cette durée !


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