samedi 1 octobre 2005

LES MALDIVES - MALÉ




LES MALDIVES : MALÉ


Cet article commence à MALÉ, Iles Maldives
Fin juin 2005
Mes coéquipiers sont Michel ?????????, Philippe??????????


Drapeau animé des Maldives par Pascal Gross

La hâte de mettre pied à terre nous fourmille jusqu’aux orteils. MALÉ se dévoile timidement sous un ciel cotonneux. Sous son canotier hérissé de buildings, elle ne ressemble en rien à un paradis tropical. Sur tribord, une île basse et longiligne s’est faite l’hôte de l’aéroport international.


En face, encore une île, presque un îlot, où cohabitent un resort et le dépotoir fumant. Nous sommes parqués encore une fois dans une darse étroite du port de commerce, les fesses de Pamplemousse au ras des parpaings de la digue. Mohamed, responsable de l’Antrac, est notre agent désigné


Accueil cordial. Formalités interminables mais correctes, pas de bakchich ou de mendicité camouflée. Leur seule obsession : l’alcool. Il doit rester à bord. Religion oblige.


                      LE PORT DE MALÉ

(Photo du net)

Malé est un crible de ruelles étroites bourdonnantes d’une activité fébrile. De rares places ombragées, disputées au roi commerce et à la puissante administration. Entourée d’un lagon bétonné de quais de commerce où règne une circulation maritime intense.


MALE, rue animée.

Gentillesse, sourire, correction, plus un anglais bien répandu facilitent le contact. En dépit de la surpopulation (soixante-dix mille habitants sur un banc de sable lilliputien) la propreté saute aux yeux comme la crasse à Galle. Une opulence évidente surprend : voitures neuves de marque, absence totale de mendicité, chalands foisonnant dans les multitudes de commerces et d’échoppes quelquefois minuscules. Femmes souriantes, portant généralement le foulard. Tennis gratuit. Nous en profitons un max, sous une chaleur d’autocuiseur. Bien sûr, une très belle mosquée nous tend les bras en cas de conversion foudroyante.






MARCHE AU POISSON


Mais les Maldives, ça n’est pas que Malé, c’est vingt-cinq atolls éparpillés du nord au sud sur une tartine de mer de huit cent soixante-dix kilomètres carrés. Ces atolls, galaxie de l’océan, contiennent mille cent quatre-vingt-dix îles qui sont autant de soleils, un bon nombre viabilisées par les seuls resorts qui fourmillent tout autant. Pour y vadrouiller avec le bateau, il faut un « cruising permit ». Pas cher, mais il impose de revenir à Malé pour une clearance. Ce n'est pas exploitable. Adieu donc les beaux îlots de sable blanc. Nous partons directement sur SALALA à OMAN.



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