SOIRÉE OFFERTE PAR SANDOVAL LE VENDREDI 25 NOVEMBRE

SOIRÉE OFFERTE PAR SANDOVAL 

Cet article se déroule à SALVADOR DE BAHIA, Brésil

Le 25 novembre 2011

Mes coéquipiers sont Edmée et Michel BESNIER
Nos hôtes sont Jane et Sandoval 

Vendredi 25 novembre 2011
Matinée relax avec seulement Charly à bord mais quand arrive Edmée, il faut aller chercher en catastrophe une fleur pour la femme de Sandoval, dont l’invitation est pour cet après-midi et non demain… On va dans deux hypermarchés qu’elle avait repérés mais qui s’avèrent être des cash & carry… et elle finit par acheter un… chrysanthème à notre supermarché habituel et tout près !

L’église de Bonfim

Sur notre demande car nous l'avions repérée mais n'avions pas eu le temps, Sandoval nous emmène visiter l’église de Bonfim, très belle, puis nous fait circuler dans la vieille puis la nouvelle ville et ses quartiers résidentiels. Contraste étonnant entre les deux, la ville noire et la ville blanche, la ville pauvre et la ville riche, les favelas et résidences modestes et les villas de prestige et immeubles luxueux, condominiums gardiennés avec forêt primaire intégrée.

Polyglottisme aidant...

La grande villa moderne de Sandoval, toute blanche avec de grands espaces vitrés, presque pas de murs et des tas de fenêtres, comme le chantait Jacques Brel, est parmi ceux-ci, avec un club house et tout à l’avenant. Jane (prononcer Jenny) sa femme arrive plus tard, très sympathique et très belle et qui parle et comprend suffisamment de français pour converser avec le polyglottisme éhonté d’Edmée. 

Avec Jane et Sandoval.

Ils nous font visiter le superbe centre commercial de Paralela à deux pas à pied de chez eux –  Jane est mordue de shopping également, mais ni l’une ni l’autre ne veut rester à magasiner pendant que l’on irait dîner (!) – et nous emmènent dans un restaurant-terrasse excentré qui sert des pizzas et des viandes. 

Servis à la tranche...

On choisit la deuxième option, qui nous vaut de manger un gigot et une pièce de bœuf grillés à souhait, succulents et servis à la tranche, découpés toujours chaud devant le convive qui attrape sa tranche au vol avec une pince genre pince à sucre. On termine par un digestif chez Sandoval au retour et on rentre en taxi à minuit.

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